(Gerald
Scarfe's anti-semitic blood libel cartoon was published in the Sunday Times,
with apologies
by Rupert Murdoch after the fact in order to keep the other 1/4 of his
readership that didn't like the 'insensitive' cartoon.)
Ayaan
Hirsi Ali and Theo van Gogh are known for having produced a little film about
islam. I've never seen it. Because I didn't feel the need to see it. I already
had a little film in my own head, no longer than 30 seconds, less time than you
need to read my description of it.
There are
two sequences of 15 seconds each, the first coming from some TV pictures I once
saw on the news, the kind of pictures preceded by a warning about their
disturbing character. It was from an execution of a woman by the taliban,
pictures of her being put to death for adultery in some football stadium. You
saw it all happen from afar, she walking forward under her light blue burqa,
followed by a taliban man dressed in brown, leisurely carrying his kalashnikov
in his arms across his chest. She kneeling down and he lowering his kalashnikov
to shoot her through the head. 15 seconds. You could see some smoke, and her
head exploding under her burqa, how her body was knocked forward, and how she
fell on her face. Her life destroyed by some unassuming self-righteous taliban
man in a football stadium. In front of I don't know whom.
The
second sequence of 15 seconds then played out in my head, after the first
sequence almost made me puke, feeling the sickness in my stomach, so that I
could not help myself anymore, and wept. Thinking about her beautiful brown
skin, her lovable cunt swollen with lust and wet with desire, her eyes
inundated with pleasure. Thinking of her, how she was destroyed because of all
that, in the name of islamic justice. How her life was taken away from her
simply because she was a divine creature made for producing happiness, pleasure
and joy in limitless quantities. And how one should tell Ahmadinejad, that this
repulsive 'phenomenon' called islamic justice, is proof of a godforsaken
madness inspired by the prophet. Proof beyond any doubt. Notwithstanding the fact that
even in our Western world there are positivists who deny that such a thing as
islamic injustice can be rationally proven.
May God
have mercy on our helpless souls.
PS: For
those who find the use of the word 'cunt' pornographic and inappropriate for a
prayer: pornography is nothing less than a natural theory of life, and a
definitively proven theory, mind you, not just some speculation. The proof is
with yourself: where do you think you come from?
PPS: I've written 'godforsaken madness inspired by the prophet', and there are therefore two parties involved in that affair: those who are possessed by this godforsaken madness when they call themselves inspired by the prophet, and the prophet himself who has or has not said or done what his godforsaken followers invoke as the inspiration or justification for their blasphematory behaviour. - Is it necessary to recall that the gravest form of blasphemy consists in usurping God's authority, as if one could take his place? And that it is the only sin that even God, who is great and merciful, cannot forgive?
[Improved Google translation:]
Ayaan Hirsi Ali et Theo van Gogh sont connus pour avoir produit un petit film sur l'islam. Je ne l'ai jamais vu. Parce que je ne sentais pas le besoin de le voir. J'avais déjà un petit film dans ma tête, pas plus que 30 secondes, moins de temps qu'il ne vous faut pour lire ma description.
Il y a deux séquences de 15 secondes chacune, la première provenant de quelques images télévisées que j'ai vues aux infos, ces images précédées d'un avertissement pour leur caractère perturbateur. C'était l'exécution d'une femme par les talibans, les images d'elle mise à mort pour adultère dans un stade de football. On voyait tout de loin, elle qui s'avançait sous sa burqa bleu pâle, suivie d'un homme taliban en vêtements marrons, tenant tranquillement sa kalachnikov dans les bras devant sa poitrine. Elle s'agenouillait et il baissait sa kalashnikov pour lui tirer une balle dans la tête. 15 secondes. On voyait un peu de fumée, sa tête exploser sous la burqa, son corps propulsée en avant, et comment elle est tombée finalement sur son visage. Sa vie détruite par un homme taliban modeste et satisfait dans un stade de football. Devant je ne sais pas qui.
La seconde séquence de 15 secondes s'est ensuite jouée dans ma tête, après que la première séquence m'a presque fait vomir, me sentant malade au creux du ventre, au point que je ne pouvais plus me retenir. Et j'ai pleuré. En pensant à sa belle peau brune, son con gonflé d'envie et mouillé de désir, ses yeux inondés de plaisir. En pensant à elle, comment elle a été détruite à cause de tout cela, au nom de la justice islamique. Comment sa vie lui a été volée simplement parce qu'elle était une créature divine faite pour produire du bonheur, du plaisir et de la joie en quantités illimitées. Et comment on devrait dire à Ahmadinejad, que ce 'phénomène' répugnant appelé justice islamique est la preuve d'une démence blasphématoire inspirée par le prophète. Preuve qui ne souffre aucun doute. Nonobstant le fait que, même dans notre monde occidental, il existe des positivistes qui nient que l'injustice islamique puisse être prouvée rationnellement.
Que Dieu ait pitié de nos âmes impuissantes.
PS: Pour ceux qui trouvent l'utilisation du mot 'con' pornographique et inappropriée pour une prière: la pornographie n'est rien d'autre qu'une théorie naturelle de la vie. Et une théorie définitivement prouvée, à vrai dire, pas seulement une spéculation. La preuve, elle est avec vous: d'où pensez-vous que vous venez?
PPS: J'ai écrit 'démence blasphématoire inspirée par le prophète', et il y a donc deux parties impliquées dans cette affaire: ceux qui sont habités par cette démence blasphématoire en se disant inspirés par le prophète, et le prophète lui-même qui a ou n'a pas dit ou fait ce que ses fidèles blasphématoires invoquent comme inspiration ou justification de leur conduite blasphématoire. - Faut-il rappeler que le blasphème suprême consiste à usurper l'autorité de Dieu, comme si l'on pouvait prendre sa place? Et qu'il est le seul péché que même Dieu, qui est grand et miséricordieux, ne peut pas pardonner?
PPS: I've written 'godforsaken madness inspired by the prophet', and there are therefore two parties involved in that affair: those who are possessed by this godforsaken madness when they call themselves inspired by the prophet, and the prophet himself who has or has not said or done what his godforsaken followers invoke as the inspiration or justification for their blasphematory behaviour. - Is it necessary to recall that the gravest form of blasphemy consists in usurping God's authority, as if one could take his place? And that it is the only sin that even God, who is great and merciful, cannot forgive?
[Improved Google translation:]
Ayaan Hirsi Ali et Theo van Gogh sont connus pour avoir produit un petit film sur l'islam. Je ne l'ai jamais vu. Parce que je ne sentais pas le besoin de le voir. J'avais déjà un petit film dans ma tête, pas plus que 30 secondes, moins de temps qu'il ne vous faut pour lire ma description.
Il y a deux séquences de 15 secondes chacune, la première provenant de quelques images télévisées que j'ai vues aux infos, ces images précédées d'un avertissement pour leur caractère perturbateur. C'était l'exécution d'une femme par les talibans, les images d'elle mise à mort pour adultère dans un stade de football. On voyait tout de loin, elle qui s'avançait sous sa burqa bleu pâle, suivie d'un homme taliban en vêtements marrons, tenant tranquillement sa kalachnikov dans les bras devant sa poitrine. Elle s'agenouillait et il baissait sa kalashnikov pour lui tirer une balle dans la tête. 15 secondes. On voyait un peu de fumée, sa tête exploser sous la burqa, son corps propulsée en avant, et comment elle est tombée finalement sur son visage. Sa vie détruite par un homme taliban modeste et satisfait dans un stade de football. Devant je ne sais pas qui.
La seconde séquence de 15 secondes s'est ensuite jouée dans ma tête, après que la première séquence m'a presque fait vomir, me sentant malade au creux du ventre, au point que je ne pouvais plus me retenir. Et j'ai pleuré. En pensant à sa belle peau brune, son con gonflé d'envie et mouillé de désir, ses yeux inondés de plaisir. En pensant à elle, comment elle a été détruite à cause de tout cela, au nom de la justice islamique. Comment sa vie lui a été volée simplement parce qu'elle était une créature divine faite pour produire du bonheur, du plaisir et de la joie en quantités illimitées. Et comment on devrait dire à Ahmadinejad, que ce 'phénomène' répugnant appelé justice islamique est la preuve d'une démence blasphématoire inspirée par le prophète. Preuve qui ne souffre aucun doute. Nonobstant le fait que, même dans notre monde occidental, il existe des positivistes qui nient que l'injustice islamique puisse être prouvée rationnellement.
Que Dieu ait pitié de nos âmes impuissantes.
PS: Pour ceux qui trouvent l'utilisation du mot 'con' pornographique et inappropriée pour une prière: la pornographie n'est rien d'autre qu'une théorie naturelle de la vie. Et une théorie définitivement prouvée, à vrai dire, pas seulement une spéculation. La preuve, elle est avec vous: d'où pensez-vous que vous venez?
PPS: J'ai écrit 'démence blasphématoire inspirée par le prophète', et il y a donc deux parties impliquées dans cette affaire: ceux qui sont habités par cette démence blasphématoire en se disant inspirés par le prophète, et le prophète lui-même qui a ou n'a pas dit ou fait ce que ses fidèles blasphématoires invoquent comme inspiration ou justification de leur conduite blasphématoire. - Faut-il rappeler que le blasphème suprême consiste à usurper l'autorité de Dieu, comme si l'on pouvait prendre sa place? Et qu'il est le seul péché que même Dieu, qui est grand et miséricordieux, ne peut pas pardonner?
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